Profil de la rue aligné; cette vieille maison qui avançait était une particularité de la rue Charles Keller. Cela n'est plus, en attendant ce qu'on nous réserve.
La maison démolie faisait vieillotte au milieu des autres aux allures plus propres et plus modernes. A la place il y en aura une autre faite en béton et en préfabriqué dont la durée de vie ne dépassera pas la moitié de celle de la bâtisse précédente !
Mon arrière grand-mère y avait domicilié au rez de chaussée, elle l'a quitté avant l'invasion allemande en 1940 pour se réfugier chez sa fille à Nantes.
Sur le pignon, j'ai encore en mémoire l'affiche allemande avec le portrait d'un militaire russe, poignard à la main, et en légende: "le massacre de Kathyn".
Les gens qui descendaient la rue Charles Keller ne pouvaient ne pas la voir...
La maison démolie faisait vieillotte au milieu des autres aux allures plus propres et plus modernes. A la place il y en aura une autre faite en béton et en préfabriqué dont la durée de vie ne dépassera pas la moitié de celle de la bâtisse précédente !
RépondreSupprimerBien vu et en plus elle deviendra "crade" très rapidement comme toutes ces constructions en béton.
RépondreSupprimerBien d'accord avec vous. Je n'ai pas compris en quoi elle gênait. Au contraire, elle donnait du relief à la rue.
RépondreSupprimerCette maison était chère à mon cœur...
RépondreSupprimerMon arrière grand-mère y avait domicilié au rez de chaussée, elle l'a quitté avant l'invasion allemande en 1940 pour se réfugier chez sa fille à Nantes.
Sur le pignon, j'ai encore en mémoire l'affiche allemande avec le portrait d'un militaire russe, poignard à la main, et en légende:
"le massacre de Kathyn".
Les gens qui descendaient la rue Charles Keller ne pouvaient ne pas la voir...