Le transbordeur Solvay franchissait la RN 74 à cet endroit...
comme cette photo le prouve, avec le même immeuble
à gauche, seul repaire pour refaire la même prise de vue
En tournant le dos on voit le carrefour du "Tronc qui fume"
et tel qu'il se présentait à l'époque de la campagne électorale de 1988
(avec comme repaire la colline à gauche)
photos de 1981
(transbordeur)
etd'Avril 1988et 4 Avril 2012
La nouvelle route que l'on prend dans ce nouveau rond point et qui contourne maintenant Agincout et Lay-St Christophe a nettement amélioré la circulation sur cette route jusqu'à l'arrivée sur l'autoroute à Bouxières aux Dames.
RépondreSupprimerQu'est-ce qu'il y avait dans les transbordeurs de Solvay ?
RépondreSupprimerDes roches calcaires extraites des carrières de Maxéville et transportées jusque Dombasle par le transbordeur.
RépondreSupprimervoir le site http://www.mairie-maxeville.fr/article.php3?id_article=1030
domicilié à seichamps dans les années 70, j'empruntais quotidiennement cet axe. un jour (était-ce en 74 ou 75, en tout cas il n'y avait déjà plus de passages de wagonnets) un camion s'encastra sous un des piliers du pont métallique. cet accident occasionna une belle pagaille... et scella le sort de l'ouvrage. ou du moins cela précipita son funeste destin...
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour le lien !
RépondreSupprimerEuh...sans m'avancer de trop, il ne me semble pas qu'un "simple" accident de la route soit à l'origine du "funeste destin" du TP Max... Les raisons sont davantage à rechercher du côté de la gêne de plus en plus forte occasionnée par le bruit aux riverains (de plus en plus nombreux avec la périurbanisation croissante depuis les années 60), particulièrement pour Pulnoy, Seichamps, Dommartemont, sans parler de la traverser du tissu urbain du nord de l'agglo problématique avec le tissu assez dense de Malzéville et Maxéville.
RépondreSupprimerCe facteur de pression de la population (bruit et dangerosité relative mais bien réelle de l'infrastructure), cumulé aux réserves de la 3e et dernière carrière restante sur le plateau de Maxéville (estimées à une vingtaine d'années) ont amené l'ets Solvay à se reporter sur les nombreuses carrières de calcaire de Meuse, pour le coup moins contraignantes et aux réserves plus importantes. Le calcaire est exporté directement par fret ferroviaire jusqu'à l'usine de Dombasle.
Voilà pour ma petite contribution sur cet objet qui me fascine tout particulièrement. Pour ceux que cela intéresse ou amuserait, ils peuvent essayer d'en retrouver des vestiges, notamment les embases encore très présente sur le plateau de Malzéville. Ou un petit tour sur Google earth aussi pour partir à la recherche des embases sur tout le parcours...
Bonjour,
RépondreSupprimerla 1ere photo en haut date de quelle année ?
et la seconde ?
merci
les 2 premières photos sont donc de 1981 ??
RépondreSupprimerConnaît-on l'Origine de l'appellation "Tronc qui fume",
RépondreSupprimerLes wagonnets se sont arrêtés en 1984,avec l'épuisement de la carrière Solvay et non à cause du bruit,les habitants se sont installés là en connaissance des désagrément,ou un quelconque accident en 1974
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