Le Haut du Lièvre alias le Haut du Lapin. Je ne crois pas que ce type d'urbanisme aurait encore droit d'exister de nos jours, j'aurais même cru qu'il aurait vêcu... Les arbres ont poussé en 46 ans. Lorsque nous sommes arrivés dans notre coin de ville nouvelle en Région Parisienne (mince c'était il y a 23 ans déjà !) il a été transplanté des arbres hauts avec de belles mottes et cela a tout de suite fait la différence. Et puis il y avait les bois existants.
En 1957 le HDL n'était prévu que pour durer 20 ans, pour des logements d'urgence. Comme tout ce qui est provisoire...cela existe encore!En restructuration actuellement, avec de nouvelles constructions sur la façade nord, mais à visage (!) humain, constitué de petits blocs.
Et pourtant, c'était beau et c'était grand. On y voyait la moitié de Nancy. Le seul problème, c'était l'isolation thermique, mais on s'en foutait, le chauffage était collectif. L'autBref re problème, c'était le parking : voie publique => P.V. pour défaut d'assurance par exemple. Il aurait suffit que la société d'HLM déclare que ça n'était pas la voie publique et on aurait évité des PV en cascade pour des voitures sur calles. Bref, l'éternel décalage entre les bonnes inetentions et la réalité...
Le Haut du Lièvre alias le Haut du Lapin. Je ne crois pas que ce type d'urbanisme aurait encore droit d'exister de nos jours, j'aurais même cru qu'il aurait vêcu...
RépondreSupprimerLes arbres ont poussé en 46 ans. Lorsque nous sommes arrivés dans notre coin de ville nouvelle en Région Parisienne (mince c'était il y a 23 ans déjà !) il a été transplanté des arbres hauts avec de belles mottes et cela a tout de suite fait la différence. Et puis il y avait les bois existants.
En 1957 le HDL n'était prévu que pour durer 20 ans, pour des logements d'urgence.
RépondreSupprimerComme tout ce qui est provisoire...cela existe encore!En restructuration actuellement, avec de nouvelles constructions sur la façade nord, mais à visage (!) humain, constitué de petits blocs.
Et pourtant, c'était beau et c'était grand. On y voyait la moitié de Nancy. Le seul problème, c'était l'isolation thermique, mais on s'en foutait, le chauffage était collectif. L'autBref re problème, c'était le parking : voie publique => P.V. pour défaut d'assurance par exemple. Il aurait suffit que la société d'HLM déclare que ça n'était pas la voie publique et on aurait évité des PV en cascade pour des voitures sur calles. Bref, l'éternel décalage entre les bonnes inetentions et la réalité...
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