La disparition des commerces. La rue Alfred Mézières n'en comptait pas beaucoup, et pourtant là aussi la désertification avance.
A l'angle de la rue Crevaux, un salon de coiffure a fermé ses portes depuis plusieurs mois. Il succédait à de nombreux commerces dont j'ai perdu le souvenir. Toutefois à la veille de la guerre j'ai le souvenir précis d'un commerce de bimbeloterie/bazar, avec surtout en vitrine de nombreux jouets qui me fascinaient d'autant plus qu'inaccessibles vu leur prix. Il était tenu par deux vieilles demoiselles anglaises, qui paraît-il furent internées par les allemands lors de l'occupation en 1940.
photos du 30 Août 2011